Ohé citoyens, réveillez-vous. La Révolution tunisienne perd de sa valeur
Nos artères ont perdu leur charme, nos villes devenues l’ombre d’avant, la puanteur s’installe, l’anarchie se confirme, on ne sait plus où sommes-nous situés après la Révolution, on ne sait plus où on va, les usines ferment, le chômage augmente, les investisseurs reculent et commencent à déserter le pays
… comme qui dirait, la Tunisie vogue dans une mer tumultueuse, pour ne pas dire en plein TSUNAMI.
Tous les jours on espère voir les citoyens s’échanger des fleurs et des propos réconfortant, mais c’est tout le contraire qui se passe. Les problèmes n’en finissement pas, les demandes sont illimitées…
Aujourd’hui, par exemple, les agriculteurs et producteurs de lait de Fernana pensaient avoir trouvé une issue à la crise qu'ils vivent en ce moment. La production laitière étant en surplus, la coopérative laitière Aqila (Boussalem) refuse de prendre à sa charge 3000 litres supplémentaires de lait venant de la coopérative de Sidi Ammar (Fernana), alors qu'un accord avait été trouvé avec le gouverneur de Jendouba, M. Bechir Ksiri.
Le plus déplorable, c’est qu’on doit s’attendre à avoir 10.000 litres de lait déversés par les producteurs sur la RN 17, reliant Jendouba à Fernana. Cette route sera également occupée à partir de demain par les agriculteurs, qui organisent un sit-in ouvert, jusqu'à ce qu'une solution leur permettant d'écouler le surplus et de payer leurs engagements bancaires soit trouvée.
D’autre-part, le dialogue entamé avec les jeunes diplômés-chômeurs dans le gouvernorat de Gabès permet de mettre fin à certains sit-in bloquant la circulation. Toutefois, la route entre Gabès et Gafsa est toujours bloquée après 4 jours de sit-in, obligeant les automobilistes à faire un détour par El Hamma, située à 34 kilomètres de Gabès.
Nos artères ont perdu leur charme, nos villes devenues l’ombre d’avant, la puanteur s’installe, l’anarchie se confirme, on ne sait plus où sommes-nous situés après la Révolution, on ne sait plus où on va, les usines ferment, le chômage augmente, les investisseurs reculent et commencent à déserter le pays
… comme qui dirait, la Tunisie vogue dans une mer tumultueuse, pour ne pas dire en plein TSUNAMI.
Tous les jours on espère voir les citoyens s’échanger des fleurs et des propos réconfortant, mais c’est tout le contraire qui se passe. Les problèmes n’en finissement pas, les demandes sont illimitées…
Aujourd’hui, par exemple, les agriculteurs et producteurs de lait de Fernana pensaient avoir trouvé une issue à la crise qu'ils vivent en ce moment. La production laitière étant en surplus, la coopérative laitière Aqila (Boussalem) refuse de prendre à sa charge 3000 litres supplémentaires de lait venant de la coopérative de Sidi Ammar (Fernana), alors qu'un accord avait été trouvé avec le gouverneur de Jendouba, M. Bechir Ksiri.
Le plus déplorable, c’est qu’on doit s’attendre à avoir 10.000 litres de lait déversés par les producteurs sur la RN 17, reliant Jendouba à Fernana. Cette route sera également occupée à partir de demain par les agriculteurs, qui organisent un sit-in ouvert, jusqu'à ce qu'une solution leur permettant d'écouler le surplus et de payer leurs engagements bancaires soit trouvée.
D’autre-part, le dialogue entamé avec les jeunes diplômés-chômeurs dans le gouvernorat de Gabès permet de mettre fin à certains sit-in bloquant la circulation. Toutefois, la route entre Gabès et Gafsa est toujours bloquée après 4 jours de sit-in, obligeant les automobilistes à faire un détour par El Hamma, située à 34 kilomètres de Gabès.

